Gemeinsam sind wir stark - Einzeln müssen wir betteln
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Frankreich: on-line Petition
Petition der französischen Sexworker-Gewerkschaft STRASS
wegen Verletzung der Menschenrechte gemäß Artikel 23 der UN-Deklaration von 1948
durch französiche Gesetze gegen Prostitution
(Fall der Inhaftierung eines im Internet werbenden Escorts aus Toulouse)
jetzt on-line unterzeichen
To: Strass (Syndicat du travail sexuel)
Arrêtez de criminaliser les travailleurs du sexe !
Communiqué de presse du mardi 20 octobre 2009.
Le journal en ligne La Dépêche publiait le 17 octobre dernier un article relatant l'arrestation d'une escort, pour racolage sur internet. Jean-Noël Gros, l'auteur de l'article1, précisait que cette arrestation avait été rendue possible par l'application de l'article L 225-10-1 de la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003, relative à la sécurité intérieure (LSI). Pourtant, si l'on se rapporte à la circulaire d'application de la LSI, datée du 3 juin 2003, le délit de racolage public est présenté comme un moyen de garantir la tranquillité publique, en débarrassant les rues de toutes manifestations sexuelles ostentatoires.2 Mais la sollicitation des clientes et des clients sur Internet ne s'affiche pas aux yeux des passants. Elle est confinée aux sites spécialisés, qu'on ne consulte pas par accident. On ne voit pas très bien, dans ces conditions, ce qui peut motiver son interdiction, si ce n'est la volonté délibérée d'empêcher les escorts de travailler.
Or, il n'est pas interdit en France de se livrer à des rapports sexuels tarifés : la loi française ne proscrit pas la prostitution. D'ailleurs, l'État reconnaît bien la prostitution comme un travail puisqu'elle est soumise au régime fiscal. Dans ce contexte, l'affaire toulousaine constitue une violation de l'un des droits humains proclamés dans l'article 23 de la Déclaration des Nations unies de 1948, : le droit au travail.3 Elle ne paraît choquer personne. Même les plus sensibles au respect des droits humains demeurent indifférents. Il faut croire que la prostitution reste une activité dont il est tellement évident, pour la plupart des gens, qu’elle doit être empêchée, qu’on peut se permettre de vouloir l’interdire en infraction à un droit fondamental, sans prendre la peine de justifier cette position.
Alors que tous/tes les travailleurs/ses sont confronté/e/s à la situation de crise économique et que les gouvernements font leur possible pour éviter une situation de chômage et de pauvreté catastrophique, la répression du travail sexuel, lequel constitue une solution financière intéressante pour les minorités et les femmes appartenant aux classes populaires, réalise une avancée considérable en s'attaquant à la prostitution via internet. En l'occurence, l'argument de la défense de la dignité humaine, au risque de sacrifier les libertés fondamentales de la personne dont la dignité serait menacée, sensé justifier l'existence du délit de racolage public est difficilement soutenable dans ce cas. En effet, sauf à considérer que proposer des services sexuels sur internet est contraire à la dignité humaine, il n'y a pas de motif qui puisse justifier son interdiction. De plus, les sites de rencontres sur internet servent précisément aux prostitué/e/s à se protéger des dangers liés au racolage de rue (arrestations policières, agressions physiques, vols, humiliation ou encore proxénètes) et, en cela, criminaliser l'usage d'internet entre en contradiction avec les objectifs de la LSI.
Le STRASS exige :
la cessation de l'hypocrisie du gouvernement français concernant la prostitution.
la décriminalisation de tout acte sexuel entre adultes consentants.
l’abrogation de toutes les lois sur la prostitution.
le respect des libertés fondamentales des travaileurs/ses du sexe.
http://www.strass-syndicat.org/
Hier die Petitition:
http://www.petitiononline.com/sw2210/petition.html
.
wegen Verletzung der Menschenrechte gemäß Artikel 23 der UN-Deklaration von 1948
durch französiche Gesetze gegen Prostitution
(Fall der Inhaftierung eines im Internet werbenden Escorts aus Toulouse)
jetzt on-line unterzeichen
To: Strass (Syndicat du travail sexuel)
Arrêtez de criminaliser les travailleurs du sexe !
Communiqué de presse du mardi 20 octobre 2009.
Le journal en ligne La Dépêche publiait le 17 octobre dernier un article relatant l'arrestation d'une escort, pour racolage sur internet. Jean-Noël Gros, l'auteur de l'article1, précisait que cette arrestation avait été rendue possible par l'application de l'article L 225-10-1 de la loi n° 2003-239 du 18 mars 2003, relative à la sécurité intérieure (LSI). Pourtant, si l'on se rapporte à la circulaire d'application de la LSI, datée du 3 juin 2003, le délit de racolage public est présenté comme un moyen de garantir la tranquillité publique, en débarrassant les rues de toutes manifestations sexuelles ostentatoires.2 Mais la sollicitation des clientes et des clients sur Internet ne s'affiche pas aux yeux des passants. Elle est confinée aux sites spécialisés, qu'on ne consulte pas par accident. On ne voit pas très bien, dans ces conditions, ce qui peut motiver son interdiction, si ce n'est la volonté délibérée d'empêcher les escorts de travailler.
Or, il n'est pas interdit en France de se livrer à des rapports sexuels tarifés : la loi française ne proscrit pas la prostitution. D'ailleurs, l'État reconnaît bien la prostitution comme un travail puisqu'elle est soumise au régime fiscal. Dans ce contexte, l'affaire toulousaine constitue une violation de l'un des droits humains proclamés dans l'article 23 de la Déclaration des Nations unies de 1948, : le droit au travail.3 Elle ne paraît choquer personne. Même les plus sensibles au respect des droits humains demeurent indifférents. Il faut croire que la prostitution reste une activité dont il est tellement évident, pour la plupart des gens, qu’elle doit être empêchée, qu’on peut se permettre de vouloir l’interdire en infraction à un droit fondamental, sans prendre la peine de justifier cette position.
Alors que tous/tes les travailleurs/ses sont confronté/e/s à la situation de crise économique et que les gouvernements font leur possible pour éviter une situation de chômage et de pauvreté catastrophique, la répression du travail sexuel, lequel constitue une solution financière intéressante pour les minorités et les femmes appartenant aux classes populaires, réalise une avancée considérable en s'attaquant à la prostitution via internet. En l'occurence, l'argument de la défense de la dignité humaine, au risque de sacrifier les libertés fondamentales de la personne dont la dignité serait menacée, sensé justifier l'existence du délit de racolage public est difficilement soutenable dans ce cas. En effet, sauf à considérer que proposer des services sexuels sur internet est contraire à la dignité humaine, il n'y a pas de motif qui puisse justifier son interdiction. De plus, les sites de rencontres sur internet servent précisément aux prostitué/e/s à se protéger des dangers liés au racolage de rue (arrestations policières, agressions physiques, vols, humiliation ou encore proxénètes) et, en cela, criminaliser l'usage d'internet entre en contradiction avec les objectifs de la LSI.
Le STRASS exige :
la cessation de l'hypocrisie du gouvernement français concernant la prostitution.
la décriminalisation de tout acte sexuel entre adultes consentants.
l’abrogation de toutes les lois sur la prostitution.
le respect des libertés fondamentales des travaileurs/ses du sexe.
http://www.strass-syndicat.org/
Hier die Petitition:
http://www.petitiononline.com/sw2210/petition.html
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Diese Edition hat aber gedauert
Zu dieser Tagung Berlin 2006, Bericht von SOPHIE:
viewtopic.php?p=4730#4730
ist jetzt das Buch erschienen:
Sexarbeit - ein Beruf mit Interessensvertretung? Working in the sex industry - Jobs with representation of interests?
Emilija Mitrovic, Dorothea Müller (Hg.)
Forum Wissenschaft Studien 57
ISBN 978-3-939864-08-0, August 2009, 171 Seiten, 12,00 EUR
http://www.bdwi.de/show/2772765.html
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viewtopic.php?p=4730#4730
ist jetzt das Buch erschienen:
Sexarbeit - ein Beruf mit Interessensvertretung? Working in the sex industry - Jobs with representation of interests?
Emilija Mitrovic, Dorothea Müller (Hg.)
Forum Wissenschaft Studien 57
ISBN 978-3-939864-08-0, August 2009, 171 Seiten, 12,00 EUR
http://www.bdwi.de/show/2772765.html
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Video
Film und Interview
der französischen Sexarbeiter der Gewerkschaft
Syndicat du travail sexuel - STRASS
http://latelelibre.fr/index.php/2009/07 ... il-sexuel/
von der Gründungsveranstaltung (s.o. Posting #26, Seite 2)
Théâtre de l'Odéon, Paris:
viewtopic.php?p=53304#53304
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der französischen Sexarbeiter der Gewerkschaft
Syndicat du travail sexuel - STRASS
http://latelelibre.fr/index.php/2009/07 ... il-sexuel/
von der Gründungsveranstaltung (s.o. Posting #26, Seite 2)
Théâtre de l'Odéon, Paris:
viewtopic.php?p=53304#53304
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Sex Worker Facebook List

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Google spreadsheet öffnen
Sex worker groups on Facebook // Sexwork-Gruppen auf Facebook
Remembrance Days // Gedenktage
3rd of March - Intl. Sex Worker Rights Day (India)
www.swopusa.org/March3/
www.facebook.com/photo.php?pid=4821618&id=635047192
2nd of June - Intl. Sex Worker Day - Sex Worker Pride (Europe)
In 1975 about 100 prostitutes occupied church Saint-Nizier in Lyon, France, to express their criminalized and precarious situation of living and survival. After that a national movement was set off, but on 10th of June at 5 o'clock the church was brutally raided by police forces. Nowadays sex workers in Europe and the World celebrate this day (similar to the queer community with their Christopher Street Riots/Gay Pride Day/Mardi Gras).
http://de.wikipedia.org/wiki/Internationaler_Hurentag
11th of July (2006) - Sex Worker Day (Mexico)
http://upsidedownworld.org/main/mexico- ... ial-change
17th of December - Intl. Day against Hate Crimes and Criminalization of Sex Workers - Day to End Violence Against Sex Workers! (U.S.A.)
www.facebook.com/photo.php?pid=160528&i ... 0142592335
www.facebook.com/group.php?gid=35978138838
www.swopusa.org/dec17
Special Interest Groups ABC
Harm Reduction Coalition (int.)
www.facebook.com/group.php?gid=16068234501
Love your hooker & Pay them well
www.facebook.com/pages/Love-your-hooker ... 4019263919
Media Whores (intl.)
www.facebook.com/group.php?gid=134944286543273
My favorite abolitionist (int.):
www.facebook.com/group.php?gid=199758454582
Not Everyone in the Sex Industry is a Human Trafficking Victim (Int.)
www.facebook.com/group.php?gid=357346749647
Rentboys Unite!!! (Int.)
www.facebook.com/group.php?gid=310835971950
www.facebook.com/group.php?gid=176958282661 (old)
Rights for Sex Workers
www.facebook.com/group.php?gid=2212918234
SW for people with disability...
www.facebook.com/groups/271348659583046/
www.facebook.com/group.php?gid=379182829696 -von FB 2x gelöscht-
World Geographic Listing
NSWP - Network of Sex Work Projects (global)
www.facebook.com/group.php?gid=135859926447922
www.nswp.org

Category or country: from north to south, from west to east
Group entry: alphabetical
America
North America
Canada
Alliance Féministe Solidaire pour les droits des travailleuses(rs) du sexe (Montreal)
www.facebook.com/pages/Alliance-F%C3%A9 ... 6125996347
Chez Stella (Montreal)
www.chezstella.org
Feminist P*rn Awards (Toronto)
www.facebook.com/FeministPrnAwards
FIRST: Decriminalize Sex Work Now! (Vancouver)
www.facebook.com/pages/FIRST-Decriminal ... 6804681196
www.firstadvocates.org
Halifax Sex Workers Without Boundaries
www.facebook.com/group.php?gid=89277280354
Stepping Stone (Halifax)
www.facebook.com/group.php?gid=2356528305
Hustle - Men on the Move (Vancouver)
www.facebook.com/group.php?gid=11164463685
I bet we can find 1,000,000 people who support decriminalizing sex work! (Toronto)
www.facebook.com/group.php?gid=311318611711
In memory of those lives lost due to the acts of Ropert Pickton
www.facebook.com/group.php?gid=6615853324
Jen's Kitchen - advocacy,outreach & food relief service (Vancouver)
www.facebook.com/group.php?gid=4826609242
Lies ARE Sexy: response to Salvation Army Antitrafficking Campaign
www.facebook.com/group.php?gid=121544121963
Maggie's (Toronto)
www.facebook.com/pages/Maggies-Sex-Work ... 0003475570
www.facebook.com/group.php?gid=17831009663
www.maggiesToronto.com
POWER ::: Prostitutes of Ottawa/Gatineau Work Educate & Resist (Ottawa)
www.facebook.com/group.php?gid=25239492838
http://sites.google.com/site/powerottawa
S.P.O.C - Sex Professionals of Canada (Toronto)
www.facebook.com/group.php?gid=2422902273
www.spoc.ca
SWOP Canada
www.facebook.com/profile.php?id=100001441125961
WHORE (Women Hookers Organizing for their Rights and Empowerment) is a prostitutes collective
www.facebook.com/profile.php?id=100001019924246
U.S.A.
Annie Sprinkle Appreciation Society
www.facebook.com/group.php?gid=4906838772
www.facebook.com/profile.php?id=525680140
www.facebook.com/pages/Annie-Sprinkle/305538975195
www.annieSprinkle.org
California missionary outreach, U.S.A.
www.facebook.com/stripchurch
Carol Leigh aka Scarlot Harlot (San Francisco)
www.facebook.com/ScarlotHarlot
www.baySwan.org
Center for Sex & Culture (Los Angeles)
www.facebook.com/group.php?gid=18064301175
www.sexandculture.org
Decriminalize Voluntary Prostitution
www.facebook.com/group.php?gid=2208847966
Desiree Alliance
www.facebook.com/DesireeAlliance
www.facebook.com/group.php?gid=59715479036
Friends of the St. James Infirmary (San Francisco)
www.facebook.com/group.php?gid=50009508543
www.stjamesinfirmary.org
H.I.P.S. Helping Individual Prostitutes Survive (Washington DC)
www.facebook.com/pages/HIPS/165509978872
Hook Online, NYC, U.S.A.
www.facebook.com/HOOKonline
IASHS - Institute for Advanced Study of Human Sexuality (San Francisco)
www.facebook.com/group.php?gid=12819611542
www.facebook.com/pages/San-Francisco-CA ... 2193609386
http://iashs.edu
Jews For Sex Worker Rights
www.facebook.com/group.php?gid=83405916200
Project-Weber Providence for male sex workers (Rhode Island)
www.facebook.com/profile.php?id=100001884015463
Sex Worker Literati (Monthly event in NYC)
www.facebook.com/sexworkerliterati
Sex Workers For Choice (Toledo, Ohio)
www.facebook.com/pages/Sex-Workers-For- ... 9251727640
http://site.sexworkersforchoice.org
Sex Workers
www.facebook.com/pages/Sex-Workers/58390380518
Sex Workers Project - Urban Justice Center (NYC)
www.facebook.com/pages/The-Sex-Workers- ... 6360482488
$PREAD Magazine (NYC)
www.facebook.com/pages/pread-Magazine/25703723474
www.spreadMagazine.org
Support your local Sex Workers in San Francisco
www.facebook.com/group.php?gid=31115014467
SWOP Chicago
www.facebook.com/SwopChicago
www.facebook.com/group.php?gid=54753057052 (old)
Sex Workers Outreach Project (Chicago)
www.facebook.com/pages/Sex-Workers-Outr ... 4010809049
www.swopusa.org = www.swop-usa.org
SWOP LA (Los Angeles)
www.facebook.com/pages/Sex-Workers-Outr ... 1197921212
SWOP Las Vegas
www.facebook.com/group.php?gid=61457983738
SWOP NYC / SWANK (Sex Workers' Action New yorK)
www.facebook.com/group.php?gid=58860486504
www.swop-nyc.org
Support your local Sex Workers in San Francisco
www.facebook.com/group.php?gid=31115014467
Central and South America
colectivo Por Una Transformación Auténtica de la Sociedad
(P.U.T.A.S.), Lima, Peru
www.facebook.com/pages/Colectivo-PUTAS/229460627102299
AMMAR RedTraSex (Argentina)
www.facebook.com/profile.php?id=1403559885
DASPU - sex worker fashion label by Davida (Rio de Janeiro, Brazil)
www.davida.org.br
www.daspu.com.br
Peru
www.facebook.com/pages/Asociaci%C3%B3n- ... 3226197752
Europe
ICRSE - International Committee on the Rights of Sex Workers in Europe (Amsterdam, NL)
www.facebook.com/profile.php?id=100000119044514 (coordinator)
www.facebook.com/pages/ICRSE/105375937644
www.sexworkEurope.org
Austria, Germany, Luxembourg, Switzerland
Female, Male & Trans Sex Workers & Supporters (Berlin, Frankfurt, Vienna, Zürich)
official Facebook group of sexworker.at
www.facebook.com/group.php?gid=114069434594
Denmark
SIO - Sexarbejdernes Interesse Organisation
www.facebook.com/pages/SIO/195788731071
www.s-i-o.dk
Finland
Pro-tukipiste ry (Pro Centre Finland)
www.facebook.com/pages/Pro-tukipiste-ry ... 2968483532
Salli - Seksialan Liitto SALLI ry (Finland)
www.facebook.com/Salli.org
www.salli.org
France
Contre la penalisation des clients des travaileuSEs du sexe (France):
www.facebook.com/pages/Contre-la-penali ... 9966130576
Le droit commun pour les prostituéEs! (France)
www.facebook.com/group.php?gid=5778947571
STRASS - Syndicat du TRAvail Sexuel (France)
www.facebook.com/group.php?gid=77459688435
prostBoys.org Lyon, France
www.facebook.com/prostboyz
Germany
www.facebook.com/groups/sexworker.at/
kommerzielle Seiten:
- Kaufmich www.facebook.com/pages/Kaufmich/167996739932233 (nicht offiziell)
- Berlin advertising portal www.facebook.com/Rotlichtfreundeberlin
- Cologne red light friends www.facebook.com/groups/206630419386651/
- Hessen red light guide www.facebook.com/rotlicht.guide.hessen
Ireland
SWAI sexWorkersAllianceIreland.org (Ireland)
www.facebook.com/profile.php?id=100001926422270
Turn Off The Blue Light (Ireland and London, UK)
www.facebook.com/turnoffthebluelight
Italy
Il Comitato per i Diritti Civili delle Prostitute (CDCP)
Lucciole (lit:glowfly/sex worker; Pordenone near Venice)
www.facebook.com/group.php?gid=45849102179
www.lucciole.org
The Netherlands
Rode Draad, Red Threat (Amsterdam, The Netherland)
www.facebook.com/group.php?gid=157044284310452
Vakbond Vakwerk (Amsterdam, The Netherlands)
www.facebook.com/group.php?gid=123032887747663
Spain
Por la normalización de la prostitución libremente ejercida
www.facebook.com/group.php?gid=138867742650
Coletiva Hetaira (Madrid)
www.facebook.com/colectivohetaira
Macedonia
STAR
www.facebook.com/pages/STAR/91871002517 -group back again-
Norway
PION - Norwegian interest organisation for sex workers (Oslo)
www.facebook.com/group.php?gid=36502012211
Sweden
Fight the "Swedish model" on sexwork and drug use
www.facebook.com/group.php?gid=18661011428
Sex at the Margins (Book '07)
www.facebook.com/group.php?gid=75253090319
by Laura Agustín
www.facebook.com/profile.php?id=806779510
www.lauraAgustin.com
United Kingdom
Adult Industry Trade Assocation - AITA
www.facebook.com/group.php?gid=131981740157486
English Collective of Prostitutes - ECP (London)
www.facebook.com/pages/English-Collecti ... 6900434101
Erotic Awards & Night of the Senses (London)
www.facebook.com/EroticAwards
www.facebook.com/NightOfTheSenses
IUSW - International Union of Sex Workers (London)
www.facebook.com/group.php?gid=29925577627
Postgraduate Sex Work Research
www.facebook.com/group.php?gid=53086562491
Sex Worker Open University (SWOU London)
www.facebook.com/sexworkeropenuniversity
S.P.A.N.K Compaign (Service Providers Against Negative Knowledge)
www.facebook.com/pages/SPANK-Campaign/164263440277161
Supporting sex workers and those involved in prostitution (UK, US)
www.facebook.com/group.php?gid=2408543967
x:talk - Language classes for migrant sex workers (London)
www.facebook.com/profile.php?id=824195768
www.xtalkProject.net
Africa
African Sex Worker Alliance Supporters Page
www.facebook.com/pages/AFRICAN-SEX-WORK ... 2849583626
SWEAT: Sex Workers Education and Advocacy Taskforce (Salt River, Cape Town, South Africa)
www.facebook.com/group.php?gid=123176961066774
Asia
APNSWP - Asia Pacific Network of Sex Work Projects
www.facebook.com/pages/Apnsw/220412237972556
Karnataka Sexworkersunion, India
www.facebook.com/profile.php?id=100002772054140
Korea, Giant Girls
www.facebook.com/pages/%EC%84%B1%EB%85% ... 1775257986
www.GGsexworker.org
www.translate.google.de/translate?hl=de ... ker.org%2F
Service Workers In Group (SWING) Bangkok, Thailand
www.facebook.com/SWINGfoundation
MTV No Exit (Cambodia)
www.facebook.com/group.php?gid=39176319005
Red Nobles - male sexworker group (Philippines)
www.facebook.com/profile.php?id=100001012453298
Sex Workers are also CITIZENS (Asia)
www.facebook.com/group.php?gid=18118836371
Australia
Australian Sex Party
www.facebook.com/aus.sex.party
www.facebook.com/group.php?gid=39270051668
www.sexparty.org.au
PCV - ProsCollective OfVictoria
www.facebook.com/PCV3000
Respect Inc (Queensland)
www.facebook.com/group.php?gid=132510766760420
www.respectQLD.org.au
Rhed - Resourcing Health & Education (Victoria)
www.facebook.com/profile.php?id=1527812712
www.sexworker.org.au
Scarlet Alliance - Sex Workers & Supporters
www.facebook.com/group.php?gid=19550508825
www.scarletalliance.org.au
www.scarletmen.org.au
SIN - South Australian Sex Industry Network
www.facebook.com/pages/SIN/108320842589921
www.facebook.com/group.php?gid=66522935599 (old)
www.sin.org.au
www.acsa.org.au/sin.html
People for Sex Worker Rights in WA (West Australia)
www.facebook.com/pages/People-for-Sex-W ... 4294602767
SWAGGERR - Sex Worker Action Group Gaining Empowerment, Rights and Recognition (Adelaide, South Australia)
www.facebook.com/group.php?gid=114940053322
SWOP - Sex Worker Outreach Project (first founded in Australia, the US)
www.facebook.com/swop.nsw (Sydney)
www.swop.org.au
Vixen
www.facebook.com/group.php?gid=32794381768
Oceania
San Fiji (San Ntwk, Suva City, Fiji Islands)
www.facebook.com/SANFIJI
Antarctica
Censored by Facebook
Hookers for the ban of the group calling for their murder (against Grand Theft Auto game etc.)
www.facebook.com/group.php?gid=300203532854
"The group "Hookers for the ban of the groups calling for their murder" has been removed because it violated our Terms of Use. Among other things, groups that are hateful, threatening or obscene are not allowed. We also take down groups that attack an individual or group, or advertise a product or service. Continued misuse of Facebook's features could result in your account being disabled.
If you have any questions or concerns, you can visit our FAQ page at facebook.com/help/?topic=wgroups."
[Facebook: 3. August 2010, 14:30 cet]

World maps:
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?t=949
www.sexworker.at/international Countries
www.sexworker.at/lokal Cities
http://chartsbin.com/view/snb = http://bit.ly/cy3TW9
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?p=18380#18380
www.swannet.org/en/node/747
www.empowerFoundation.org/everywhere_en.html
www.chartsbin.com/view/snb
Other Groups Listing
www.swaay.org/groups.html
First version of this list
www.facebook.com/note.php?note_id=186689349647
Address to this posting // Link zu dieser Seite:
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?t=4508&start=43
(share the link - support sex worker self organisation)
Zuletzt geändert von Marc of Frankfurt am 21.12.2013, 13:20, insgesamt 20-mal geändert.
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300 organisierte französche Sexworker
Die französische Sexworker Gewerkschaft wird immer professioneller und hat sich folgende Struktur gegeben
STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel (Union of Sex Work)
Une nouvelle équipe pour le STRASS
8 Decembre 2009
Le STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel a tenu son Assemblée Générale annuelle ce week-end et élu une nouvelle équipe pour son CA.
Le syndicat a officiellement atteint le chiffre des 300 adhésions et a fixé comme priorité politique pour l‘année à venir la lutte contre la prohibition. Nous profiterons de la campagne pour les élections régionales afin de sensibiliser la classe politique et l’opinion publique. Nous prévoyons également la création d’un poste de soutien juridique pour nos adhérents.
En termes de sociologie du groupe nous pouvons indiquer que nos membres se composent d’environ 70% de femmes, 20% de trans’, 10% de garçons et qu’une majorité de nos membres travaillent dans la rue.
Les éluEs pour 2010 sont :
Bureau :
Secrétaire Générale : Cadyne 06 18 44 68 99
Secrétaire Porte Parole Nationale : Tiphaine Besnard 06 62 85 53 62
Trésorier : Nikita 06 87 66 18 09
Conseil d’administration :
Porte Parole Sud Ouest : Isabelle Schweiger
Porte Parole Sud Est : Plume et Leila
Porte Parole Grand Est : Cornélia Schneider
Relations Internationales : Thierry Schaffauser
Communication : Maitresse Gilda
Lien communautaire Travail de rue : Nicole
Lien communautaire Internet/Téléphonie : Marquise
Lien communautaire Etablissements : Astrid
Lien communautaire BDSM : Maitresse Léia
A new team for STRASS
December 8th, 2009
The STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel (Union of Sex Work) held its annual General Assembly this weekend and elected a new team for its board.
The union has officially reached the figure of 300 members and has set a policy priority for the coming year : the fight against prohibition. We will use the campaign for regional elections to raise awareness among the politiciens and the public opinion. We also expect the creation of a legal support office for our members.
In terms of sociology for the group we can say our members are approximately 70% women, 20% trans', 10% of boys and a majority of our members work on the street.
The elected officials for 2010 are:
Office:
General Secretary : Cadyne 06 18 44 68 99
National Spokeswoman: Tiphaine Besnard 06 62 85 53 62
Treasurer: Nikita 06 87 66 18 09
Board of Directress:
Spokeswoman for South West France: Isabelle Schweiger
Spokeswomen for South East France: Plume and Leila
Spokeswoman for North East: Cornelia Schneider
International Relations: Thierry Schaffauser
Communication: Maitresse Gilda
Coordination Community Street Work: Nicole
Coordination Community Internet Telephone: Marquise
Coordination Community Clus, Bars, Parlours, Flats : Astrid
Coordination Community BDSM: Maitresse Leia
Eine tolle Inspiration für unsere geplanten kommenden Netzwerk-Treffen ...
.
STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel (Union of Sex Work)
Une nouvelle équipe pour le STRASS
8 Decembre 2009
Le STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel a tenu son Assemblée Générale annuelle ce week-end et élu une nouvelle équipe pour son CA.
Le syndicat a officiellement atteint le chiffre des 300 adhésions et a fixé comme priorité politique pour l‘année à venir la lutte contre la prohibition. Nous profiterons de la campagne pour les élections régionales afin de sensibiliser la classe politique et l’opinion publique. Nous prévoyons également la création d’un poste de soutien juridique pour nos adhérents.
En termes de sociologie du groupe nous pouvons indiquer que nos membres se composent d’environ 70% de femmes, 20% de trans’, 10% de garçons et qu’une majorité de nos membres travaillent dans la rue.
Les éluEs pour 2010 sont :
Bureau :
Secrétaire Générale : Cadyne 06 18 44 68 99
Secrétaire Porte Parole Nationale : Tiphaine Besnard 06 62 85 53 62
Trésorier : Nikita 06 87 66 18 09
Conseil d’administration :
Porte Parole Sud Ouest : Isabelle Schweiger
Porte Parole Sud Est : Plume et Leila
Porte Parole Grand Est : Cornélia Schneider
Relations Internationales : Thierry Schaffauser
Communication : Maitresse Gilda
Lien communautaire Travail de rue : Nicole
Lien communautaire Internet/Téléphonie : Marquise
Lien communautaire Etablissements : Astrid
Lien communautaire BDSM : Maitresse Léia
A new team for STRASS
December 8th, 2009
The STRASS, Syndicat du TRAvail Sexuel (Union of Sex Work) held its annual General Assembly this weekend and elected a new team for its board.
The union has officially reached the figure of 300 members and has set a policy priority for the coming year : the fight against prohibition. We will use the campaign for regional elections to raise awareness among the politiciens and the public opinion. We also expect the creation of a legal support office for our members.
In terms of sociology for the group we can say our members are approximately 70% women, 20% trans', 10% of boys and a majority of our members work on the street.
The elected officials for 2010 are:
Office:
General Secretary : Cadyne 06 18 44 68 99
National Spokeswoman: Tiphaine Besnard 06 62 85 53 62
Treasurer: Nikita 06 87 66 18 09
Board of Directress:
Spokeswoman for South West France: Isabelle Schweiger
Spokeswomen for South East France: Plume and Leila
Spokeswoman for North East: Cornelia Schneider
International Relations: Thierry Schaffauser
Communication: Maitresse Gilda
Coordination Community Street Work: Nicole
Coordination Community Internet Telephone: Marquise
Coordination Community Clus, Bars, Parlours, Flats : Astrid
Coordination Community BDSM: Maitresse Leia
Eine tolle Inspiration für unsere geplanten kommenden Netzwerk-Treffen ...
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Video der Sexworker (Empower seit 1984)
Toll:
Das vielfältige und vorbildliche Leistungsangebot der Sexworker-Gewerkschaft Thailand
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ZjdO-YrWPMo[/youtube]
www.empowerfoundation.org/index_en.html
in:
Patpong, Bangkok
Chiang Mai
Patong Phuket
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?p=28772#28772
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Das vielfältige und vorbildliche Leistungsangebot der Sexworker-Gewerkschaft Thailand
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ZjdO-YrWPMo[/youtube]
www.empowerfoundation.org/index_en.html
in:
Patpong, Bangkok
Chiang Mai
Patong Phuket
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?p=28772#28772
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England
Gegen eine Kriminalisierung von Prostitutionskunden oder Sexarbeit durch Gewerkschaften:
Unison women taking wrong tack on prostitution
Monday 22 February 2010
The Unison women's conference was wrong to vote to campaign for our clients' criminalisation (M Star February 21).
Its motion was sexist, because it depicts sex workers as always and only victims and excludes male and transsexual workers.
It is sexist because it is paternalist, ignoring sex workers' voices and treating us only as objects when we organise politically and are trade unionists like them.
It is sexist because it maintains women's division into good and bad girls, good saviours who rescue the poor girls needing their help.
Sweden's law is a failure in terms of safety, trafficking and stigma. Swedish sex workers have always been excluded from the politics concerning them. Swedish sex workers who refuse rehabilitation are then seen as dangerous and have their children taken into care.
It is incorrect to suggest that the Olympic Games will lead to an increase in trafficking - no increase has been proven during previous sport events.
Drying up supply doesn't fight against trafficking because the demand for sex is not the cause of trafficking. Anti-migration laws are.
Criminalisation of our clients will only reduce our incomes and our economic options. It will be more difficult to impose our conditions, especially for street workers - the most vulnerable - who won't have enough time to speak to a client before getting in a car.
Trade unions are supposed to defend workers, not criminalise their work. We are workers. Get over it.
Thierry Schaffauser
President, GMB Sex Workers Branch
http://www.morningstaronline.co.uk/inde ... full/87140
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Unison women taking wrong tack on prostitution
Monday 22 February 2010
The Unison women's conference was wrong to vote to campaign for our clients' criminalisation (M Star February 21).
Its motion was sexist, because it depicts sex workers as always and only victims and excludes male and transsexual workers.
It is sexist because it is paternalist, ignoring sex workers' voices and treating us only as objects when we organise politically and are trade unionists like them.
It is sexist because it maintains women's division into good and bad girls, good saviours who rescue the poor girls needing their help.
Sweden's law is a failure in terms of safety, trafficking and stigma. Swedish sex workers have always been excluded from the politics concerning them. Swedish sex workers who refuse rehabilitation are then seen as dangerous and have their children taken into care.
It is incorrect to suggest that the Olympic Games will lead to an increase in trafficking - no increase has been proven during previous sport events.
Drying up supply doesn't fight against trafficking because the demand for sex is not the cause of trafficking. Anti-migration laws are.
Criminalisation of our clients will only reduce our incomes and our economic options. It will be more difficult to impose our conditions, especially for street workers - the most vulnerable - who won't have enough time to speak to a client before getting in a car.
Trade unions are supposed to defend workers, not criminalise their work. We are workers. Get over it.
Thierry Schaffauser
President, GMB Sex Workers Branch
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Preis-würdig
Sexworker-Gewerkschaft hat 33% Preiserhöhung durchgesetzt
http://www.nodo50.org/Laura_Agustin/sex ... s-in-ghana
http://news.peacefmonline.com/social/201002/38675.php
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http://www.nodo50.org/Laura_Agustin/sex ... s-in-ghana
http://news.peacefmonline.com/social/201002/38675.php
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Tagungsband
Zögernd voran…
Zu den Perspektiven gewerkschaftlicher Aktivitäten in der Sexindustrie
Rezension von Wiebke Dierkes
Abstract:
Der Band versammelt in internationaler Perspektive die sich teils diametral entgegenstehenden Positionen zur Sexarbeit im Allgemeinen sowie zur Frage der gewerkschaftlichen Interessenvertretung im Besonderen und lässt die Brisanz der Diskussion sowohl im feministischen als auch im arbeits(markt)politischen Diskurs erkennen.
Leider bleibt die Debatte in einem grundsätzlichen Für und Wider verhaftet und vernachlässigt die Diskussion und Evaluation konkreter Bemühungen gewerkschaftlicher Organisierungsstrategien in der Sexindustrie.
Zu Wort kommen fast ausschließlich Vertreterinnen von Gewerkschaften oder Organisationen, die Sexabeiter/-innen unterstützen. Nur zwei Beiträge stammen von Sexarbeiterinnen selbst.
Interessenvertretung von Prostituierten – eine Aufgabe der Gewerkschaften?
Die vorliegende Publikation dokumentiert die Beiträge der Internationalen Konferenz „European trade unions in debate with sexworkers“, die die Gewerkschaft ver.di und die Hans Böckler Stiftung 2006 in Berlin ausgerichtet haben [als Reaktion und Nachfolgetagung auf die int. Sexwork-Konferenz 2005 im EU-Parlament in Brüssel www.sexworkEurope.org].
Im Tagungsband wird versucht, die Spannbreite an Positionen in der grundsätzlichen Debatte um Arbeitsrechte und gewerkschaftliche Interessenvertretung für Sexarbeiter/-innen in Europa abzubilden. Aufgrund der Polarität der Meinungen gelingt dies, wobei viele der Beiträge die Ebene von sehr allgemein gehaltenen Erklärungen nicht verlassen. Die Auseinandersetzung konzentriert sich auf die Diskussion zwischen europäischen Gewerkschaftsvertreter/-innen. Kontroversen zwischen verschiedenen Organisationen von Sexarbeiter/-innen rund um die Themen Gewerkschaft und Arbeitsrecht werden nicht aufgegriffen, ebensowenig die Rolle von Kommunalverwaltungen, Arbeitgeber/-innen und Medien im Feld der Sexindustrie.
Im ersten Teil der Publikation finden sich mit den Beiträgen von Heide Pfarr (Hans Böckler Stiftung) und Dorothea Müller (ver.di, FB 13) Einführungsreden der Veranstalter/-innen. Während für Pfarr die Frage nach der Notwendigkeit einer gewerkschaftlichen Interessenvertretung noch zur Disposition steht, sieht Müller im 2002 verabschiedeten Prostitutionsgesetz www.sexworker.at/prostg einen klaren Arbeitsauftrag an die Gewerkschaften. Beide betonen die internationale Dimension der Sexarbeit. Die von Pfarr angesprochene Problematik von (migrantischer) Sexarbeit als Folge eines vor allem für Frauen begrenzten Zugangs zum legalen Migrationsprozess und legalen Arbeitsmarkt wird leider weder in ihrem Beitrag noch an anderer Stelle genauer analysiert.
Karl-Hermann Tjaden vom BdWi skizziert in seinem Beitrag die Debatten über Prostitution, die in der Arbeiterbewegung am Anfang des 20. Jahrhunderts geführt wurden. Die aus sozialwissenschaftlicher Perspektive rekonstruierte Differenz der Positionen von Engels und Bebel auf der einen und Zetkin und Kollontai auf der anderen Seite ermöglicht es, die bis heute hitzigen Debatten in einem historischen Kontext zu sehen. Wichtig ist Tjadens Artikel darüber hinaus, weil er auf die desolate Forschungslage hinweist und Forschungslücken benennt.
Arbeit oder Gewalt? Sexarbeit in der europäischen Union
Diesen einleitenden Texten folgt ein Überblickstext von Emilija Mitrovic und Agnieszka Zimowska zu den verschiedenen gesetzlichen Regelungen zur Sexarbeit in acht europäischen Nationen, wobei die Analyse auf Westeuropa konzentriert ist, Polen wird als einziges osteuropäisches Land angefügt. Mit Spanien ist nur ein Land dabei, das an einer EU-Außengrenze liegt und mit Migration aus dem globalen Süden in besonderer Weise konfrontiert ist. Die Auswahl der Länder erscheint willkürlich - die Spannbreite der Gesetzgebungen wird aber gut deutlich.
Auch hinsichtlich der Lage der Organisierung von Sexarbeiter/innen liefert der Beitrag einen guten Überblick. Gewerkschaften für Sexarbeiter/-innen gibt es hiernach in der Bundesrepublik, Großbritannien und den Niederlanden, also den Ländern mit den progressivsten juristischen Rahmenbedingungen, wohingegen es in den beiden Ländern mit der restriktivsten Gesetzgebung keine gewerkschaftliche Unterstützung oder Projekte mit arbeitsmarktpolitischer Ausrichtung für Sexarbeiter/-innen gibt: nämlich in Norwegen und Schweden.
Hand in Hand mit Menschenhändlern? Zum Zusammenhang von Sexarbeit und Menschenhandel
Mit dem Beitrag der frauenpolitischen Sprecherin des Bundes deutscher Kriminalbeamten, Heike Rudat [Ltd. Kriminalrätin am LKA Berlin. Anm.], folgt sicher einer der interessantesten Artikel des Bandes, der aus einer Perspektive, die nicht gerade im Verdacht steht, Lobbyarbeit für die Sexindustrie zu leisten, den schwerwiegendsten Einwand gegen eine Legalisierung von Sexarbeit zurückweist: Rudat entkräftet -aus einer durchaus selbstkritischen polizeilichen Perspektive- die Behauptung, eine Legalisierung der Sexarbeit befördere den Menschen- bzw. Frauenhandel. Sie begründet dies damit, dass „Täter in diesem Deliktbereich häufig Orte nutzen, die von der Polizei nicht offen zu erkennen und zu kontrollieren“ (S. 79) seien, und plädiert dafür, die Tatgelegenheitsstrukturen zu minimieren. Sie betrachtet daher die Einführung des ProstG und die damit verbundene Legalisierung der Sexarbeit „als eine Chance bei der Bekämpfung des Frauenhandels durch das Sichtbarmachen eines bisher im Graubereich agierenden Wirtschaftsbereiches“ (S. 79).
Leider weist keine andere Autorin des Buches die Forderung Rudats zurück, nach der legal als Prostituierte arbeitende Personen ihre illegalisierten Kolleg/-innen -oder wie Rudat sie nennt: die „schwarzen Schafe“- anschwärzen sollen [Agenten-Spitzelkultur oder Sexwork-Selbstverwaltungorgane wie in Indien? Anm.] (S. 78).
Derartige Strategien fördern bei unveränderter Gesetzeslage -nach der Menschen ohne Aufenthaltsstatus unabhängig von ihrer Situation die Abschiebung droht- lediglich die Bereitschaft zur Denunziation, und sie forcieren die Entsolidarisierung von Arbeiter/-innen in der Sexindustrie, was nicht im Interesse gewerkschaftlicher Aktivität liegen kann.
Zwischen Paternalismus und Empowerment – unterschiedliche Antworten europäischer Gewerkschaften
Diesen eher allgemein gehaltenen Artikeln folgen im dritten Teil des Buches Statements von Gewerkschafterinnen oder Sexarbeiterinnen aus Österreich, Frankreich, Schweden, Norwegen und Großbritannien, in denen die Situation in den jeweiligen Ländern vertiefend dargestellt wird. Leider wiederholt sich hier zu großen Teilen das, was bereits aus Mitrovic Überblickstext bekannt ist. Neue Erkenntnisse bringen nur einige Beiträge, z. B. der aus Großbritannien sowie der aus Frankreich, in dem die [n]französische Situation als ein aufreibender Abwehrkampf gegen abolitionistische Gesetze[/b] beschrieben wird, und der Bericht aus Norwegen, in dem die Autorin die Position der norwegischen Gewerkschaft bekräftigt, nach der Prostitution Gewalt gegen Frauen sei. Die norwegische Gewerkschaft weigert sich fast trotzig, die Sexbranche als funktionierenden Wirtschaftssektor anzuerkennen, analog dazu wird Prostitution als Beruf nicht anerkannt und gleichermaßen die Verbindung zur Diskussion über Arbeitsrechte der sich prostituierenden Personen zurückgewiesen. Prostituierte werden in dieser paternalistischen Sicht ausschließlich als Frauen und Opfer betrachtet.
Anders dagegen stellt die britische Autorin die Ambivalenzen der Thematik in den Mittelpunkt, bezieht ganz explizit Männer und Transgenderpersonen in ihre Vorstellung von Sexarbeiter/-innen mit ein. Sie verweist auf die in der Internationalen Erklärung der Menschenrechte niedergeschriebene Koalitionsfreiheit und betont abschließend, dass sich arbeitende Menschen am besten durch Selbstorganisierung in eigenen freien Gewerkschaften nachhaltig schützen können. Der norwegischen paternalistischen Sichtweise wird eine auf Selbstorganisierung und Empowerment zielende Strategie entgegengesetzt.
Außerdem wird der Blick auf verschiedene Sparten der Sexbranche wie große Stripclubketten oder Telefonsexanbieter gelenkt. Ein positives Beispiel wie die Organisierung einer Stripclubkette, bei der ein Tarifvertrag durchgesetzt wurde, wird hier leider nur kurz beleuchtet. Eine Vertiefung wäre wünschenswert gewesen, um Anregungen für die hiesige gewerkschaftliche und betriebliche Praxis zu erhalten.
Auch die Gleichstellungsbeauftragte der europäischen Gewerkschaften bleibt in ihrem Statement sehr allgemein, mahnt jedoch an, dass bei allen Debatten vor allem die Ansichten und Erfahrungen derjenigen einzubeziehen seien, die in der Sexindustrie tätig sind oder waren. Eine Einsicht, die auch der vorliegenden Publikation gut getan hätte.
Fazit
Insgesamt gibt das Buch einen guten Einblick in die kontroverse Diskussion um Sexarbeit in der feministischen und arbeits(markt)politischen Debatte, geht allerdings argumentativ nicht über die bereits bekannten Auseinandersetzungen im Rahmen der Diskussion um die Einführung des ProstG im Jahr 2000 hinaus. Die im Band formulierten Positionen sind weitestgehend bekannt, in anderen Publikationen zur Genüge ausgetauscht worden und wirken erstarrt. Dem Buch fehlt es an ermunternden, aber auch zur Selbstkritik anregenden Beispielen aus der (gewerkschaftlichen) Praxis der letzten Jahre. Auch Überlegungen zur strategischen Mobilisierung, die durchaus von anderen schwer organisierbaren Arbeitsbereichen inspiriert sein könnten, fehlen:
- Wie schätzen beispielsweise gewerkschaftliche Organizer in ver.di die Situation ein? Ebenso fehlt ein selbstkritischer Blick in die Gewerkschaften hinein:
- Welchen Stellenwert haben Sexarbeiter/-innen für die vor Ort handelnden Gewerkschaftsfunktionär/-innen selbst?
- Ist die Sexindustrie eine Branche, deren Organisierung überhaupt erwünscht ist?
Das Nicht-Thematisieren im Band lässt darauf schließen, dass diese interne Diskussion mit den handelnden Gewerkschaftssekretär/-innen bisher nicht erschöpfend geführt wurde.
Es fehlt weiterhin eine Analyse des Arbeitsfeldes Sexindustrie und seiner vielen unterschiedlichen Sparten und wenigstens der Versuch einer Beschreibung der Berufsrealität von Sexarbeiter/-innen. Es sei angemerkt, dass es für diesen Bereich leider zu wenige empirische Daten gibt, die eine genauere Analyse möglich machen würden.
Die von vielen Prostituierten formulierte Kritik am ProstG und den von ver.di ausgearbeiteten Musterarbeitsverträgen wird nicht aufgegriffen.
Eine Diskussion darüber, das dieses Gesetz und die vorgeschlagenen vertraglichen Regelungen aus Sicht der Prostituierten unzulänglich sind, scheint jedoch unabdingbar, wenn eine gewerkschaftliche Strategie für die Organisierung der Sexindustrie ernsthaft erarbeitet werden soll.
Spannend wäre auch gewesen, andere Akteur/-innen wie den Berufsverband sexueller Dienstleistungen www.busd.de als Vertreter der Arbeitgeberseite mit in die Gedankenspiele um Zukunftsperspektiven der Gewerkschaften in der Sexbranche einzubeziehen.
Trotz aller Kritik: Der vorliegende Band zeichnet sich dadurch aus, dass er immer wieder nachdrücklich auf die enge Verbindung der Situation von Sexarbeiter/-innen mit der europäischen Einwanderungspolitik und begrenzten legalen Zugängen zum europäischen Arbeitsmarkt gerade auch für Frauen aufmerksam macht, auch wenn diese Thematik leider nicht zufriedenstellend -weil nicht tiefergehend- bearbeitet wird.
Wiebke Dierkes
Jugendbildungswerk Landkreis Gießen, Philipps Universität Marburg
Zentrum für Gender Studies und feministische Zukunftsforschung (Philipps Universität Marburg)
URN urn:nbn
0114-qn111064
http://www.querelles-net.de/index.php/q ... ew/822/821
Die ver.di-Webseite
www.arbeitsplatz-prostitution.de
erscheint leider nur noch als Schatten ihrer selbst. :-((
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Zu den Perspektiven gewerkschaftlicher Aktivitäten in der Sexindustrie
Rezension von Wiebke Dierkes
- zum Buch von
Emilija Mitrovic, Dorothea Müller (Hg.):
Sexarbeit – ein Beruf mit Interessensvertretung?
Working in the sex industry – Jobs with representation of interests?
Marburg: BdWi-Verlag 2009.
171 Seiten, ISBN 978-3-939864-08-0, € 12,00
Abstract:
Der Band versammelt in internationaler Perspektive die sich teils diametral entgegenstehenden Positionen zur Sexarbeit im Allgemeinen sowie zur Frage der gewerkschaftlichen Interessenvertretung im Besonderen und lässt die Brisanz der Diskussion sowohl im feministischen als auch im arbeits(markt)politischen Diskurs erkennen.
Leider bleibt die Debatte in einem grundsätzlichen Für und Wider verhaftet und vernachlässigt die Diskussion und Evaluation konkreter Bemühungen gewerkschaftlicher Organisierungsstrategien in der Sexindustrie.
Zu Wort kommen fast ausschließlich Vertreterinnen von Gewerkschaften oder Organisationen, die Sexabeiter/-innen unterstützen. Nur zwei Beiträge stammen von Sexarbeiterinnen selbst.
Interessenvertretung von Prostituierten – eine Aufgabe der Gewerkschaften?
Die vorliegende Publikation dokumentiert die Beiträge der Internationalen Konferenz „European trade unions in debate with sexworkers“, die die Gewerkschaft ver.di und die Hans Böckler Stiftung 2006 in Berlin ausgerichtet haben [als Reaktion und Nachfolgetagung auf die int. Sexwork-Konferenz 2005 im EU-Parlament in Brüssel www.sexworkEurope.org].
Im Tagungsband wird versucht, die Spannbreite an Positionen in der grundsätzlichen Debatte um Arbeitsrechte und gewerkschaftliche Interessenvertretung für Sexarbeiter/-innen in Europa abzubilden. Aufgrund der Polarität der Meinungen gelingt dies, wobei viele der Beiträge die Ebene von sehr allgemein gehaltenen Erklärungen nicht verlassen. Die Auseinandersetzung konzentriert sich auf die Diskussion zwischen europäischen Gewerkschaftsvertreter/-innen. Kontroversen zwischen verschiedenen Organisationen von Sexarbeiter/-innen rund um die Themen Gewerkschaft und Arbeitsrecht werden nicht aufgegriffen, ebensowenig die Rolle von Kommunalverwaltungen, Arbeitgeber/-innen und Medien im Feld der Sexindustrie.
Im ersten Teil der Publikation finden sich mit den Beiträgen von Heide Pfarr (Hans Böckler Stiftung) und Dorothea Müller (ver.di, FB 13) Einführungsreden der Veranstalter/-innen. Während für Pfarr die Frage nach der Notwendigkeit einer gewerkschaftlichen Interessenvertretung noch zur Disposition steht, sieht Müller im 2002 verabschiedeten Prostitutionsgesetz www.sexworker.at/prostg einen klaren Arbeitsauftrag an die Gewerkschaften. Beide betonen die internationale Dimension der Sexarbeit. Die von Pfarr angesprochene Problematik von (migrantischer) Sexarbeit als Folge eines vor allem für Frauen begrenzten Zugangs zum legalen Migrationsprozess und legalen Arbeitsmarkt wird leider weder in ihrem Beitrag noch an anderer Stelle genauer analysiert.
Karl-Hermann Tjaden vom BdWi skizziert in seinem Beitrag die Debatten über Prostitution, die in der Arbeiterbewegung am Anfang des 20. Jahrhunderts geführt wurden. Die aus sozialwissenschaftlicher Perspektive rekonstruierte Differenz der Positionen von Engels und Bebel auf der einen und Zetkin und Kollontai auf der anderen Seite ermöglicht es, die bis heute hitzigen Debatten in einem historischen Kontext zu sehen. Wichtig ist Tjadens Artikel darüber hinaus, weil er auf die desolate Forschungslage hinweist und Forschungslücken benennt.
Arbeit oder Gewalt? Sexarbeit in der europäischen Union
Diesen einleitenden Texten folgt ein Überblickstext von Emilija Mitrovic und Agnieszka Zimowska zu den verschiedenen gesetzlichen Regelungen zur Sexarbeit in acht europäischen Nationen, wobei die Analyse auf Westeuropa konzentriert ist, Polen wird als einziges osteuropäisches Land angefügt. Mit Spanien ist nur ein Land dabei, das an einer EU-Außengrenze liegt und mit Migration aus dem globalen Süden in besonderer Weise konfrontiert ist. Die Auswahl der Länder erscheint willkürlich - die Spannbreite der Gesetzgebungen wird aber gut deutlich.
Auch hinsichtlich der Lage der Organisierung von Sexarbeiter/innen liefert der Beitrag einen guten Überblick. Gewerkschaften für Sexarbeiter/-innen gibt es hiernach in der Bundesrepublik, Großbritannien und den Niederlanden, also den Ländern mit den progressivsten juristischen Rahmenbedingungen, wohingegen es in den beiden Ländern mit der restriktivsten Gesetzgebung keine gewerkschaftliche Unterstützung oder Projekte mit arbeitsmarktpolitischer Ausrichtung für Sexarbeiter/-innen gibt: nämlich in Norwegen und Schweden.
Hand in Hand mit Menschenhändlern? Zum Zusammenhang von Sexarbeit und Menschenhandel
Mit dem Beitrag der frauenpolitischen Sprecherin des Bundes deutscher Kriminalbeamten, Heike Rudat [Ltd. Kriminalrätin am LKA Berlin. Anm.], folgt sicher einer der interessantesten Artikel des Bandes, der aus einer Perspektive, die nicht gerade im Verdacht steht, Lobbyarbeit für die Sexindustrie zu leisten, den schwerwiegendsten Einwand gegen eine Legalisierung von Sexarbeit zurückweist: Rudat entkräftet -aus einer durchaus selbstkritischen polizeilichen Perspektive- die Behauptung, eine Legalisierung der Sexarbeit befördere den Menschen- bzw. Frauenhandel. Sie begründet dies damit, dass „Täter in diesem Deliktbereich häufig Orte nutzen, die von der Polizei nicht offen zu erkennen und zu kontrollieren“ (S. 79) seien, und plädiert dafür, die Tatgelegenheitsstrukturen zu minimieren. Sie betrachtet daher die Einführung des ProstG und die damit verbundene Legalisierung der Sexarbeit „als eine Chance bei der Bekämpfung des Frauenhandels durch das Sichtbarmachen eines bisher im Graubereich agierenden Wirtschaftsbereiches“ (S. 79).
Leider weist keine andere Autorin des Buches die Forderung Rudats zurück, nach der legal als Prostituierte arbeitende Personen ihre illegalisierten Kolleg/-innen -oder wie Rudat sie nennt: die „schwarzen Schafe“- anschwärzen sollen [Agenten-Spitzelkultur oder Sexwork-Selbstverwaltungorgane wie in Indien? Anm.] (S. 78).
Derartige Strategien fördern bei unveränderter Gesetzeslage -nach der Menschen ohne Aufenthaltsstatus unabhängig von ihrer Situation die Abschiebung droht- lediglich die Bereitschaft zur Denunziation, und sie forcieren die Entsolidarisierung von Arbeiter/-innen in der Sexindustrie, was nicht im Interesse gewerkschaftlicher Aktivität liegen kann.
Zwischen Paternalismus und Empowerment – unterschiedliche Antworten europäischer Gewerkschaften
Diesen eher allgemein gehaltenen Artikeln folgen im dritten Teil des Buches Statements von Gewerkschafterinnen oder Sexarbeiterinnen aus Österreich, Frankreich, Schweden, Norwegen und Großbritannien, in denen die Situation in den jeweiligen Ländern vertiefend dargestellt wird. Leider wiederholt sich hier zu großen Teilen das, was bereits aus Mitrovic Überblickstext bekannt ist. Neue Erkenntnisse bringen nur einige Beiträge, z. B. der aus Großbritannien sowie der aus Frankreich, in dem die [n]französische Situation als ein aufreibender Abwehrkampf gegen abolitionistische Gesetze[/b] beschrieben wird, und der Bericht aus Norwegen, in dem die Autorin die Position der norwegischen Gewerkschaft bekräftigt, nach der Prostitution Gewalt gegen Frauen sei. Die norwegische Gewerkschaft weigert sich fast trotzig, die Sexbranche als funktionierenden Wirtschaftssektor anzuerkennen, analog dazu wird Prostitution als Beruf nicht anerkannt und gleichermaßen die Verbindung zur Diskussion über Arbeitsrechte der sich prostituierenden Personen zurückgewiesen. Prostituierte werden in dieser paternalistischen Sicht ausschließlich als Frauen und Opfer betrachtet.
Anders dagegen stellt die britische Autorin die Ambivalenzen der Thematik in den Mittelpunkt, bezieht ganz explizit Männer und Transgenderpersonen in ihre Vorstellung von Sexarbeiter/-innen mit ein. Sie verweist auf die in der Internationalen Erklärung der Menschenrechte niedergeschriebene Koalitionsfreiheit und betont abschließend, dass sich arbeitende Menschen am besten durch Selbstorganisierung in eigenen freien Gewerkschaften nachhaltig schützen können. Der norwegischen paternalistischen Sichtweise wird eine auf Selbstorganisierung und Empowerment zielende Strategie entgegengesetzt.
Außerdem wird der Blick auf verschiedene Sparten der Sexbranche wie große Stripclubketten oder Telefonsexanbieter gelenkt. Ein positives Beispiel wie die Organisierung einer Stripclubkette, bei der ein Tarifvertrag durchgesetzt wurde, wird hier leider nur kurz beleuchtet. Eine Vertiefung wäre wünschenswert gewesen, um Anregungen für die hiesige gewerkschaftliche und betriebliche Praxis zu erhalten.
Auch die Gleichstellungsbeauftragte der europäischen Gewerkschaften bleibt in ihrem Statement sehr allgemein, mahnt jedoch an, dass bei allen Debatten vor allem die Ansichten und Erfahrungen derjenigen einzubeziehen seien, die in der Sexindustrie tätig sind oder waren. Eine Einsicht, die auch der vorliegenden Publikation gut getan hätte.
Fazit
Insgesamt gibt das Buch einen guten Einblick in die kontroverse Diskussion um Sexarbeit in der feministischen und arbeits(markt)politischen Debatte, geht allerdings argumentativ nicht über die bereits bekannten Auseinandersetzungen im Rahmen der Diskussion um die Einführung des ProstG im Jahr 2000 hinaus. Die im Band formulierten Positionen sind weitestgehend bekannt, in anderen Publikationen zur Genüge ausgetauscht worden und wirken erstarrt. Dem Buch fehlt es an ermunternden, aber auch zur Selbstkritik anregenden Beispielen aus der (gewerkschaftlichen) Praxis der letzten Jahre. Auch Überlegungen zur strategischen Mobilisierung, die durchaus von anderen schwer organisierbaren Arbeitsbereichen inspiriert sein könnten, fehlen:
- Wie schätzen beispielsweise gewerkschaftliche Organizer in ver.di die Situation ein? Ebenso fehlt ein selbstkritischer Blick in die Gewerkschaften hinein:
- Welchen Stellenwert haben Sexarbeiter/-innen für die vor Ort handelnden Gewerkschaftsfunktionär/-innen selbst?
- Ist die Sexindustrie eine Branche, deren Organisierung überhaupt erwünscht ist?
Das Nicht-Thematisieren im Band lässt darauf schließen, dass diese interne Diskussion mit den handelnden Gewerkschaftssekretär/-innen bisher nicht erschöpfend geführt wurde.
Es fehlt weiterhin eine Analyse des Arbeitsfeldes Sexindustrie und seiner vielen unterschiedlichen Sparten und wenigstens der Versuch einer Beschreibung der Berufsrealität von Sexarbeiter/-innen. Es sei angemerkt, dass es für diesen Bereich leider zu wenige empirische Daten gibt, die eine genauere Analyse möglich machen würden.
Die von vielen Prostituierten formulierte Kritik am ProstG und den von ver.di ausgearbeiteten Musterarbeitsverträgen wird nicht aufgegriffen.
Eine Diskussion darüber, das dieses Gesetz und die vorgeschlagenen vertraglichen Regelungen aus Sicht der Prostituierten unzulänglich sind, scheint jedoch unabdingbar, wenn eine gewerkschaftliche Strategie für die Organisierung der Sexindustrie ernsthaft erarbeitet werden soll.
Spannend wäre auch gewesen, andere Akteur/-innen wie den Berufsverband sexueller Dienstleistungen www.busd.de als Vertreter der Arbeitgeberseite mit in die Gedankenspiele um Zukunftsperspektiven der Gewerkschaften in der Sexbranche einzubeziehen.
Trotz aller Kritik: Der vorliegende Band zeichnet sich dadurch aus, dass er immer wieder nachdrücklich auf die enge Verbindung der Situation von Sexarbeiter/-innen mit der europäischen Einwanderungspolitik und begrenzten legalen Zugängen zum europäischen Arbeitsmarkt gerade auch für Frauen aufmerksam macht, auch wenn diese Thematik leider nicht zufriedenstellend -weil nicht tiefergehend- bearbeitet wird.
Wiebke Dierkes
Jugendbildungswerk Landkreis Gießen, Philipps Universität Marburg
Zentrum für Gender Studies und feministische Zukunftsforschung (Philipps Universität Marburg)
URN urn:nbn
http://www.querelles-net.de/index.php/q ... ew/822/821
Die ver.di-Webseite
www.arbeitsplatz-prostitution.de
erscheint leider nur noch als Schatten ihrer selbst. :-((
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Zuletzt geändert von Marc of Frankfurt am 25.03.2010, 02:23, insgesamt 1-mal geändert.
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Sexwork Labour Fachtagung 2003
The European Seminar on Organizing in the Informal Economy
2003
Ergebnisse / Conclusion
(1) The sex industry is a multi-billion dollar industry employing millions of persons, a very large majority of whom are women.
(2) Sex workers’ organizations now exist in most countries in the world, increasingly in the form of unions.
(3) Organized sex workers are “women in informal employment globalizing and organizing”.
(4) A majority of sex workers are deprived of basic human rights and, in some cases, of basic labour rights. Organized sex workers struggle to secure these rights.
(5) All movements, organizations and individuals concerned with human rights, women’s rights and labour rights should support these struggles.
Forderungen der englischen Sexworker Gewerkschaft www.iusw.org
The IUSW’s demands are typical and would be shared by virtually all sex workers’ organizations:
* Decriminalisaton of all aspects of sex work involving consenting adults.
* The right to form and join professional associations and unions.
* The right to work on the same basis as other independent contractors and employers
and to receive the same benefits as other self-employed or contracted workers.
* No taxation without such rights and representation.
* Zero tolerance of coercion, violence, sexual abuse, child labour, rape and racism.
* Legal support for sex workers who want to sue those who exploit their labour.
* The right to travel across national boundaries and obtain work permits wherever we live.
* Clean and safe places to work.
* The right to choose whether to work on our own
or co-operatively with other sex workers.
* The absolute right to say no.
* Access to training - our jobs require special skills and professional standards.
* Access to health clinics where we do not feel stigmatized.
* Re-training programs for sex workers who want to leave the industry.
* An end to social attitudes which stigmatise those who are or have been sex workers.
In addition, organizations in Asia, Europe and Latin America have voiced demands for access to social security, health insurance, pensions and unemployment benefits
(mostly in terms of accessing normally recognized workers’ rights under labour legislation).
The Movimiento de Mujeres Unidas (MODEMU)
(United Women’s Movement) of the Dominican Republic demands:
* fixed wages
* punctual payment of wages
* Easter bonus
* one free day per week
* registration with social security
* pre- and post maternal leave
* two weeks’ paid annual vacation
Full Report: The European Seminar on Organizing in the Informal Economy
met in Soesterberg (Netherlands) from January 13-15, 2003.
It was co-sponsored by the FNV and the ETUC and
organized by the FNV and IRENE, with participation from WIEGO.
http://www.globallabour.info/en/2007/09 ... l_sex.html
2003
Ergebnisse / Conclusion
(1) The sex industry is a multi-billion dollar industry employing millions of persons, a very large majority of whom are women.
(2) Sex workers’ organizations now exist in most countries in the world, increasingly in the form of unions.
(3) Organized sex workers are “women in informal employment globalizing and organizing”.
(4) A majority of sex workers are deprived of basic human rights and, in some cases, of basic labour rights. Organized sex workers struggle to secure these rights.
(5) All movements, organizations and individuals concerned with human rights, women’s rights and labour rights should support these struggles.
Forderungen der englischen Sexworker Gewerkschaft www.iusw.org
The IUSW’s demands are typical and would be shared by virtually all sex workers’ organizations:
* Decriminalisaton of all aspects of sex work involving consenting adults.
* The right to form and join professional associations and unions.
* The right to work on the same basis as other independent contractors and employers
and to receive the same benefits as other self-employed or contracted workers.
* No taxation without such rights and representation.
* Zero tolerance of coercion, violence, sexual abuse, child labour, rape and racism.
* Legal support for sex workers who want to sue those who exploit their labour.
* The right to travel across national boundaries and obtain work permits wherever we live.
* Clean and safe places to work.
* The right to choose whether to work on our own
or co-operatively with other sex workers.
* The absolute right to say no.
* Access to training - our jobs require special skills and professional standards.
* Access to health clinics where we do not feel stigmatized.
* Re-training programs for sex workers who want to leave the industry.
* An end to social attitudes which stigmatise those who are or have been sex workers.
In addition, organizations in Asia, Europe and Latin America have voiced demands for access to social security, health insurance, pensions and unemployment benefits
(mostly in terms of accessing normally recognized workers’ rights under labour legislation).
The Movimiento de Mujeres Unidas (MODEMU)
(United Women’s Movement) of the Dominican Republic demands:
* fixed wages
* punctual payment of wages
* Easter bonus
* one free day per week
* registration with social security
* pre- and post maternal leave
* two weeks’ paid annual vacation
Full Report: The European Seminar on Organizing in the Informal Economy
met in Soesterberg (Netherlands) from January 13-15, 2003.
It was co-sponsored by the FNV and the ETUC and
organized by the FNV and IRENE, with participation from WIEGO.
http://www.globallabour.info/en/2007/09 ... l_sex.html
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Tänzer-Gewerkschaftliches
Stripper / Tabledancer
Erotic Dancers Union
www.exoticDancersUnion.com
Exotic Dancers' Alliance
www.baySwan.org/EDAindex.html
European Strip-tease Industry
www.strip-magazine.com
.
Erotic Dancers Union
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Exotic Dancers' Alliance
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European Strip-tease Industry
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Kooperations-Paradigma
Der Sexarbeit wird stets die Zuhälterei unterstellt, weil die meisten auch aus der Arbeitswelt nur den hierarchisch Chef-geleiteten Betrieb kennen.
Hier ein Beispiel dass es auch anders geht:
Die Firma Semco in Brasilien
www.semco.com.br
http://www.sein.de/gesellschaft/neue-wi ... nende.html
Ein Buch, welches die Erkenntnisse der Spieltheorie (Gefangenen-Dilemma, Nash-Gleichgewicht und Co.) fürs Geschäftsleben erklärt:
http://www.amazon.com/Co-Opetition-Revo ... 0385479506
auf Deutsch:
http://www.spieltheorie.de/Coopetition/ ... n-buch.htm
.
Hier ein Beispiel dass es auch anders geht:
Die Firma Semco in Brasilien
www.semco.com.br
http://www.sein.de/gesellschaft/neue-wi ... nende.html
Ein Buch, welches die Erkenntnisse der Spieltheorie (Gefangenen-Dilemma, Nash-Gleichgewicht und Co.) fürs Geschäftsleben erklärt:
http://www.amazon.com/Co-Opetition-Revo ... 0385479506
auf Deutsch:
http://www.spieltheorie.de/Coopetition/ ... n-buch.htm
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Gemeinsam größere Produktivität
Sexarbeiter leben oftmals einen freiheitlich, autoreferentiellen Lebensstil. Was gibt es für Erfahrungen für autonome Kollektive auf größerer d.h. Länderebene in Europa oder der Welt?
Geschichte von Autonomie und Selbstverwaltung
Film:
"Vivir La Utopia" - Gelebte Utopie - Die Utopie leben!
Geschichte der Selbstorganisation in Aragon und Katalonien, Spanien:
Die anarchosyndikalistische Bewegung CNT (Confedéración Nacional del Trabajo) und FAI (Federación Anarquista Ibérica) zur Zeit der sozialen Revolution und Bürgergerkrieg 1936 bis 1939 als die Deutschen kamen.
Das bisher größte sozialrevolutionäre Experiment in der Menschheitsgeschichte fand in Europa statt:
Auf dem Lande bilden etwa 7 Millionen Bäuerinnen und Bauern Kollektive, in den Städten werden etwa 3.000 Fabriken und Produktionsbetriebe in Selbstverwaltung der Arbeiter-innen überführt, circa 150-000 Anarchist-innen schließen sich den Milizkolonnen im Kampf gegen den Faschismus an.
Doku von Juan A. Gamero, Arte-TVE Catalunya
90 Minuten, deutsch 1997:
http://video.google.com/videoplay?docid ... 1067604870
Info:
http://deu.anarchopedia.org/Vivir_la_Utopia
Buch
"We, the Anarchists: A Study of the Iberian Anarchist Federation (AI) 1927-37
by Stuart Christie
2008
AK Press
http://libcom.org/files/We,%20the%20ana ... 7-1937.pdf
Kooperativen im Andalusischen Marinaleda 2012
www.sexworker.at/phpBB2/viewtopic.php?p=115715#115715
Geschichte von Autonomie und Selbstverwaltung
Film:
"Vivir La Utopia" - Gelebte Utopie - Die Utopie leben!
Geschichte der Selbstorganisation in Aragon und Katalonien, Spanien:
Die anarchosyndikalistische Bewegung CNT (Confedéración Nacional del Trabajo) und FAI (Federación Anarquista Ibérica) zur Zeit der sozialen Revolution und Bürgergerkrieg 1936 bis 1939 als die Deutschen kamen.
Das bisher größte sozialrevolutionäre Experiment in der Menschheitsgeschichte fand in Europa statt:
Auf dem Lande bilden etwa 7 Millionen Bäuerinnen und Bauern Kollektive, in den Städten werden etwa 3.000 Fabriken und Produktionsbetriebe in Selbstverwaltung der Arbeiter-innen überführt, circa 150-000 Anarchist-innen schließen sich den Milizkolonnen im Kampf gegen den Faschismus an.
Doku von Juan A. Gamero, Arte-TVE Catalunya
90 Minuten, deutsch 1997:
http://video.google.com/videoplay?docid ... 1067604870
Info:
http://deu.anarchopedia.org/Vivir_la_Utopia
Buch
"We, the Anarchists: A Study of the Iberian Anarchist Federation (AI) 1927-37
by Stuart Christie
2008
AK Press
http://libcom.org/files/We,%20the%20ana ... 7-1937.pdf
Kooperativen im Andalusischen Marinaleda 2012
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Revolution nicht aufzuhalten (Netz abschalten?)
Zukunft der Selbstorganisation über Internet und Soziale Netzwerke
Macht der vernetzten Bürger auf die Politik
Macht der Konsumenten auf die Verkäufer
- Unterschied zwischen Streit in der Sache und in Werte-Einstellungen
- Methoden modernster Meinungsforschung
- Unterschied zwischen Internet-Besuchern und -Bewohnern (digital residents)
Super Videovortrag
Ist die Nutzung des Internets eine Glaubensfrage?
von Peter Kruse (Netpractice GmbH, Bremen)
auf der RE Publica Berlin (30 min):
http://re-publica.de/10/2010/04/15/pete ... bensfrage/
Zugehörige Präsentationsfolien:
http://www.scribd.com/doc/29900810/republica2010
Kritischer Bericht zu Peter Kruse in der FAZ:
http://www.faz.net/s/RubCEB3712D41B64C3 ... ntent.html
.
Macht der vernetzten Bürger auf die Politik
Macht der Konsumenten auf die Verkäufer
- Unterschied zwischen Streit in der Sache und in Werte-Einstellungen
- Methoden modernster Meinungsforschung
- Unterschied zwischen Internet-Besuchern und -Bewohnern (digital residents)
Super Videovortrag
Ist die Nutzung des Internets eine Glaubensfrage?
von Peter Kruse (Netpractice GmbH, Bremen)
auf der RE Publica Berlin (30 min):
http://re-publica.de/10/2010/04/15/pete ... bensfrage/
Zugehörige Präsentationsfolien:
http://www.scribd.com/doc/29900810/republica2010
Kritischer Bericht zu Peter Kruse in der FAZ:
http://www.faz.net/s/RubCEB3712D41B64C3 ... ntent.html
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Sticker des Tages

(From Australia, not Austria ... da wo die Kängurus leben;-)
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Domestic Workers Bill of Rights
Sexworker sind Care-Worker
die im Privatsektor arbeiten und somit von den allgemeinen Arbeiterrechten der Arbeitsgesetze ausgeschlossen sind
Davon betroffen sind auch die Pflegekräfte, Raumpfleger, Nannys und Haushaltsgehilfen, wie sie in wohlhabenden Privathaushalten und teilweise illegal beschäftigt werden, kaum Rechte haben und an der Armutsgrenze unterbezahlt sind. Moderne "Sklaven". 200.000 allein in New York City, die Millionen Amerikaner versorgen.
Diese "Domestic Home Workers" haben in den U.S.A. ihre eigene Gewerkschaft:

www.domesticWorkersUnited.org
Im State New York wurde nach langer Kampagne: "Home is where the Work is" den Verfassungsorganen eine Charta für Domestic Service Worker abgenötigt: The Domestic Workers Bill of Rights. Abgesegnet im Senat mit 33 to 28.
Zuvor hatten sie bereits von der Stadtregierung New York City Statuten für Verhaltensregeln für Hausarbeitskräfte-Agenturen abgetrotzt.
NYS: Domestic Worker's Bill of Rights:
http://assembly.state.ny.us/leg/?defaul ... y=Y&Text=Y
Die Kampagne 2006:
http://www.domesticworkersunited.org/ho ... workis.pdf
Quellen:
http://blogs.law.columbia.edu/genderand ... of-rights/
http://www.lauraagustin.com/sex-on-sunday-6-june
.
die im Privatsektor arbeiten und somit von den allgemeinen Arbeiterrechten der Arbeitsgesetze ausgeschlossen sind
Davon betroffen sind auch die Pflegekräfte, Raumpfleger, Nannys und Haushaltsgehilfen, wie sie in wohlhabenden Privathaushalten und teilweise illegal beschäftigt werden, kaum Rechte haben und an der Armutsgrenze unterbezahlt sind. Moderne "Sklaven". 200.000 allein in New York City, die Millionen Amerikaner versorgen.
Diese "Domestic Home Workers" haben in den U.S.A. ihre eigene Gewerkschaft:

www.domesticWorkersUnited.org
Im State New York wurde nach langer Kampagne: "Home is where the Work is" den Verfassungsorganen eine Charta für Domestic Service Worker abgenötigt: The Domestic Workers Bill of Rights. Abgesegnet im Senat mit 33 to 28.
Zuvor hatten sie bereits von der Stadtregierung New York City Statuten für Verhaltensregeln für Hausarbeitskräfte-Agenturen abgetrotzt.
NYS: Domestic Worker's Bill of Rights:
http://assembly.state.ny.us/leg/?defaul ... y=Y&Text=Y
Die Kampagne 2006:
http://www.domesticworkersunited.org/ho ... workis.pdf
Quellen:
http://blogs.law.columbia.edu/genderand ... of-rights/
http://www.lauraagustin.com/sex-on-sunday-6-june
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Berufsverband
Interessanter Name für einen Berufsverband:
World Parliament of Clowns
http://clownship.org/content/view/14/69/lang,de/
World Parliament of Clowns
http://clownship.org/content/view/14/69/lang,de/
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Sexworker und ihre Kämpfe
Anfang der Hurenbewegung in Deutschland
Das Buch und Coming-out von Pieke Biermann: "Wir sind Frauen wie andere auch"
1980 und 1991
http://www.amazon.de/dp/3499176459

http://de.wikipedia.org/wiki/Pieke_Biermann
http://www.krimilexikon.de/biermann.htm
.
Das Buch und Coming-out von Pieke Biermann: "Wir sind Frauen wie andere auch"
1980 und 1991
http://www.amazon.de/dp/3499176459

http://de.wikipedia.org/wiki/Pieke_Biermann
http://www.krimilexikon.de/biermann.htm
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NL irgendwann vor 2007
Sexworker Gewerkschaft Amsterdam / Holland
www.rodeDraad.nl
mit Sprecherin Metje Blaak
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=wTvX1PbLA6Y[/youtube]
Ihr Sexworker Handbuch:
Metje Blaak: Witboek "Handboek voor sexwerkers":
http://www.metjeblaak.nl/prostitutie-gids.html
Siehe die Kontroverse von Metje Blaak gegen die
Vermarktung von männlichen Sexworkern als Abowerbung fürs Magazin von Linda de Mol:
viewtopic.php?p=79893#79893
.
www.rodeDraad.nl
mit Sprecherin Metje Blaak
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=wTvX1PbLA6Y[/youtube]
Ihr Sexworker Handbuch:
Metje Blaak: Witboek "Handboek voor sexwerkers":
http://www.metjeblaak.nl/prostitutie-gids.html
Siehe die Kontroverse von Metje Blaak gegen die
Vermarktung von männlichen Sexworkern als Abowerbung fürs Magazin von Linda de Mol:
viewtopic.php?p=79893#79893
.
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- Registriert: 01.08.2006, 14:30
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Sexual-Assistenz Netzwerk und Berufsverband
Wie sich die Sexual-BegleiterInnen organisieren und dabei von einer Firma/Verband professionell unterstützt werden
Diese Preisverleihung an das Netzwerk www.libida-sexualbegleitung.at in Graz hat mich zu dem Link ihres Kooperationsvertages für SexualbegleiterInnen mit dem Netzwerk geführt:
http://www.libida-sexualbegleitung.at/b ... rung10.pdf
(7 Seiten)
Wir haben zwar ein eigenes Unterforum Sexualbegleitung/Sexualassistenz aber mir geht es hier mehr darum diese Strukturen einer gewerkschaftlichen, verbandsartigen bis franchiseartigen Vernetzung genauer anzuschauen, die aufgebaut werden, um den selbstständig tätigen Frauen und Männern auch nach ihrer Ausbildung in ihrer Berufstätigkeit als SexualbegleiterInnen zu helfen:
- Es wird ein Markenname aufgebaut und seine Verwendung/Vermarktung definiert
- Es wird der eigene neudefinierte Berufsbereich abgegrenzt z.B. gegen Prostitution
- Es werden Qualitätsstandards aufgebaut z.B. Menge an Fortbildungen
- Es werden Standesnormen definiert z.B. Preise
- Es wird ein Serviceangebot für Fortbildungen und Beratung aufgebaut und angeboten
- Es wird ein verbindliches professionelles Berufs-Netzwerk aus selbstständigen Berufstätigen und einer sich kümmernden Firma als Zentrale, Interessenvertretung und Marketingorganisation/Lobbyverband installiert. Der Kooperationsvertrag besiegelten dann die Beziehungen, die aus den kostenflichtigen Ausbildungen entstanden sind.
Dies ist bestimmt ein Projekt, welches von vielen Seiten kraft bekommt (natürlich auch gegen viele bekannten Widerstände):
- Der gewissermaßen via Heim-Institutionen moderierten Nachfrage nach sexueller Assistenz von in Betreuung lebenden alten und behinderten Menschen
- Dem Qualifizierungswunsch von Sexualassistenten, die nicht in die Prostitution abgleiten wollen und eine Tätigkeit mit Titel und Betreuung/Fortbildung zu schätzen wissen
- Der Organisation und Fortbildungseinrichtung www.alphanova.at Betriebsgesellschaft m.b.H. in Graz, die sich ein Geschäftsfeld erschaffen hat indem sie die Ausbildungen und dann das Projekt www.libida-sexualbegleitung.at ins Leben gerufen hat.
(Also gleichzeitige bottom up und top down Entwicklung auf freiwilliger bezahlter professioneller Basis.)
Warum haben High-Class-Escorts und Sexworker, die Betreiber und Vermieter, die Kunden und die staatlich geförderten Sozialberatungsstellen so ein Qualitäts- und Fortbildungsinstitut (in ihrer langen 30jährigen Geschichte als sozialer Bewegung) bisher nicht installieren können?
- wegen dem Tabu / Prostitutionsstigma?
- wegen der Sittenwidrigkeit / Kriminalisierung?
- wegen Ausbeutung / Mißbrauch?
- wegen Armut / Bildungsmangel?
- wegen Unangepaßtheit, Autonomiesehnsucht der Sexworker?
- wegen Scham, Psychostruktur, Mißbrauchserfahrung, Heimlichkeit, Konkurrenzdruck ... ?
Was unterscheidet diese Soziostruktur der sich professionalisieren wollenden Sexualassistenz von unseren Versuchen um Qualitätsoffensiven bei Sexworker Academy und Gütesiegeln für Arbeitsstätten?
P.S.
Wir können das gerne intern weiter besprechen falls gewünscht:
viewtopic.php?t=4323
viewforum.php?f=109
Was mich auch noch interessiert und ich bisher vergessen habe zu fragen: Wer war beim AIDS-Kongress in Wien im Workshop von Thierry über die Organisation und Erfolgsgeschichte der Französischen Sexworker Gewerkschaft STRASS? Würde mich über Feedback freuen, ob es da gute Ideen gab.
Diese Preisverleihung an das Netzwerk www.libida-sexualbegleitung.at in Graz hat mich zu dem Link ihres Kooperationsvertages für SexualbegleiterInnen mit dem Netzwerk geführt:
http://www.libida-sexualbegleitung.at/b ... rung10.pdf
(7 Seiten)
Wir haben zwar ein eigenes Unterforum Sexualbegleitung/Sexualassistenz aber mir geht es hier mehr darum diese Strukturen einer gewerkschaftlichen, verbandsartigen bis franchiseartigen Vernetzung genauer anzuschauen, die aufgebaut werden, um den selbstständig tätigen Frauen und Männern auch nach ihrer Ausbildung in ihrer Berufstätigkeit als SexualbegleiterInnen zu helfen:
- Es wird ein Markenname aufgebaut und seine Verwendung/Vermarktung definiert
- Es wird der eigene neudefinierte Berufsbereich abgegrenzt z.B. gegen Prostitution
- Es werden Qualitätsstandards aufgebaut z.B. Menge an Fortbildungen
- Es werden Standesnormen definiert z.B. Preise
- Es wird ein Serviceangebot für Fortbildungen und Beratung aufgebaut und angeboten
- Es wird ein verbindliches professionelles Berufs-Netzwerk aus selbstständigen Berufstätigen und einer sich kümmernden Firma als Zentrale, Interessenvertretung und Marketingorganisation/Lobbyverband installiert. Der Kooperationsvertrag besiegelten dann die Beziehungen, die aus den kostenflichtigen Ausbildungen entstanden sind.
Dies ist bestimmt ein Projekt, welches von vielen Seiten kraft bekommt (natürlich auch gegen viele bekannten Widerstände):
- Der gewissermaßen via Heim-Institutionen moderierten Nachfrage nach sexueller Assistenz von in Betreuung lebenden alten und behinderten Menschen
- Dem Qualifizierungswunsch von Sexualassistenten, die nicht in die Prostitution abgleiten wollen und eine Tätigkeit mit Titel und Betreuung/Fortbildung zu schätzen wissen
- Der Organisation und Fortbildungseinrichtung www.alphanova.at Betriebsgesellschaft m.b.H. in Graz, die sich ein Geschäftsfeld erschaffen hat indem sie die Ausbildungen und dann das Projekt www.libida-sexualbegleitung.at ins Leben gerufen hat.
(Also gleichzeitige bottom up und top down Entwicklung auf freiwilliger bezahlter professioneller Basis.)
Warum haben High-Class-Escorts und Sexworker, die Betreiber und Vermieter, die Kunden und die staatlich geförderten Sozialberatungsstellen so ein Qualitäts- und Fortbildungsinstitut (in ihrer langen 30jährigen Geschichte als sozialer Bewegung) bisher nicht installieren können?
- wegen dem Tabu / Prostitutionsstigma?
- wegen der Sittenwidrigkeit / Kriminalisierung?
- wegen Ausbeutung / Mißbrauch?
- wegen Armut / Bildungsmangel?
- wegen Unangepaßtheit, Autonomiesehnsucht der Sexworker?
- wegen Scham, Psychostruktur, Mißbrauchserfahrung, Heimlichkeit, Konkurrenzdruck ... ?
Was unterscheidet diese Soziostruktur der sich professionalisieren wollenden Sexualassistenz von unseren Versuchen um Qualitätsoffensiven bei Sexworker Academy und Gütesiegeln für Arbeitsstätten?
P.S.
Wir können das gerne intern weiter besprechen falls gewünscht:
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Was mich auch noch interessiert und ich bisher vergessen habe zu fragen: Wer war beim AIDS-Kongress in Wien im Workshop von Thierry über die Organisation und Erfolgsgeschichte der Französischen Sexworker Gewerkschaft STRASS? Würde mich über Feedback freuen, ob es da gute Ideen gab.